Comme nous l’avons reporté,
le 20 avril ont attaqué le bâtiment squatté au numéro 60 de la rue
Valtetsiou à Exarchia (propriété de l’”Institut d’Assurance Sociale” –
IKA dirigée par l’Etat). Trois personnes se font arrêter lors de cette
expulsion. Ils ont été gardéesau commissariat, amenés devant le
procureur (accusés d’entrée illégale sur le territoire), et deux d’entre
ils ont finalement été relâchés. La troisième, une étudiante de 19 ans,
est détenue depuis à la Direction de la Police des Étrangers dans la
rue Petrou Ralli car elle n’a actuellement pas de papiers d’identité.
Déclaration par la maison expulsée au numéro 60 de la rue Valtetsiou
La manière dégueulasse dont l’État a décidé d’attaquer deux espaces
occupés à Exarchia le 20 avril 2012, à savoir le centre social VOX et
le projet de maison Valtetsiou, a aussi laissé des victimes sur le
carreau.
Sur la base du prétexte d’obstacles bureaucratiques sans
importances, une des trois arrêtés du squat Valtetsiou reste enfermée :
Anastasia ‘Nancy’ Plamantiala est détenue à la Direction de la Police
des Etrangers à Athènes et menacée de déportation, malgré le fait
qu’elle vit en Grèce depuis plusieurs années maintenant où elle étudie à
l’université.
La solidarité avec Anastasia ne peut pas être le seul fait de 2-3 de ses amis et connaissances. C’est le devoir de groupes et individus qui sont principalement engagés dans le mouvement squat.
Si Anastasia n’est pas immédiatement relâchée, nous appellerons à une forme spécifique de soutien en retour.
Nous sommes restés dans l’espace occupé pour défendre nos choix, même si nous étions au fait de l’opération de police à l’avance. Après les arrestations et l’expulsion, nous défendrons le droit de notre camarade d’être relâchée et de continuer à vivre en Grèce.
SOLIDARITÉ AVEC TOUS LES SQUATS
Squat Valtetsiou
La solidarité avec Anastasia ne peut pas être le seul fait de 2-3 de ses amis et connaissances. C’est le devoir de groupes et individus qui sont principalement engagés dans le mouvement squat.
Si Anastasia n’est pas immédiatement relâchée, nous appellerons à une forme spécifique de soutien en retour.
Nous sommes restés dans l’espace occupé pour défendre nos choix, même si nous étions au fait de l’opération de police à l’avance. Après les arrestations et l’expulsion, nous défendrons le droit de notre camarade d’être relâchée et de continuer à vivre en Grèce.
SOLIDARITÉ AVEC TOUS LES SQUATS
Squat Valtetsiou
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